mercredi 15 juillet 2009

Tantes sous tentes aboient de loin repoussant ainsi les mâtins

3 commentaires:

Sigognac a dit…

Les tables étaient jonchées de reliefs, de carcasses et d'os jamboniques qu'on eût dit déchiquetés par les crocs de mâtins charogneux (GAUTIER, Fracasse, 1863, p.325).

une fidèle auditrice a dit…

Révoltée par la diffusion effrénée de fausses nouvelles, non vérifiées, et destinées à effrayer les âmes sensibles, je porte témoignage, habitant la région, que les trois demoiselles accompagnant le petit Albert ne dorment pas parmi les bêtes sauvages mais sont hébergées sur la jonque de nuit qui glisse au calme sur le plan d'eau biologique et VEGETARIEN de Combloux.

Anonyme a dit…

et la suite....